L’industriel légumier se démarque avec une nouvelle barquette pour plats préparés et gratins, offrant une réponse concrète en matière d’éco-conception et d’emballage recyclable.

Gelagri, la filiale du groupe Eureden, poursuit depuis plusieurs années un ambitieux programme d’innovation RSE, visant entre autres objectifs la diminution des emballages qu'elle utilise, mais aussi leur meilleure recyclabilité. Dans ce domaine, l’industriel développe depuis peu une offre de plats préparés, gratins et légumes cuisinés qui sont conditionnés dans une nouvelle barquette micro-cannelée. Illustrant la voie des emballages éco-conçus et donc plus respectueux de l'environnement, cette barquette se distingue sur deux points fondamentaux. Déjà parce qu’elle pèse déjà 20 % de moins qu’une barquette classique telle qu’on les trouve habituellement au rayon surgelé. C’est en fait sa structure, élaborée en petites cannelures, qui lui permet de conserver cette rigidité et cette préhension indispensable à son usage, et restant pour autant en droite ligne avec ce qu’on peut attendre d’une barquette standard, mais pour un poids sensiblement revu à la baisse (on parle ici tout de même de l’équivalent d’une barquette gagnée sur cinq). Mais aussi, elle présente l’énorme atout d’être recyclable dans la filière papier carton. C’est loin d’être anodin pour une barquette qui passera au four traditionnel comme au micro-ondes, tout en restant conforme aux standards et prérequis du marché.

Déjà présente chez deux enseignes

« Nos équipes R & D, marketing, emballages, industrielles ont mené de nombreux essais en amont pour valider ce projet en nous assurant du bon passage sur la ligne de production, et du respect des autres exigences essentielles telles que la garantie d'hygiène et de sécurité alimentaire », explique Blandine Coquio, responsable marketing chez Eureden Frozen Food qui précise que la solution a déjà été retenue par deux enseignes grand public (l’une en GMS, l’autre en magasins spécialisés) avec pour chacune un gratin de légumes surgelés bio, vendu sous marque distributeur. « C’est vrai qu’on parle ici de quelques grammes de barquette gagnés par UVC. Donc c’est surtout le nombre de références vendues qui déterminera l’impact réel de cette démarche. Mais en attendant, chaque geste compte ! » conclut la responsable marketing.

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