Bien qu’en nette progression (+ 34 % en CAM au premier semestre), le bio surgelé représente seulement 2,6 % du chiffre d’affaires total du surgelé . C’est donc encore deux fois moins que la moyenne relevée sur le frais, de l’ordre de 5,7 %. Si on ne relève pas encore de marques locomotives, nombreux en revanche sont les fournisseurs du marché à s’être aujourd’hui positionnés sur le créneau. Résultat : une offre qui s’est développée plus significativement cette année. Mais le poids du bio surgelé diffère sensiblement d’un circuit à l’autre : ce sont sur le Drive et la proximité qu’il obtient la part de marché valeur la plus haute, avec respectivement 5,8 % et 4,5 %. Derrière, suivent le format super (2,8 %) puis l’hyper (2 %). Les EDMP restent encore loin derrière avec une part du bio sur l’assortiment surgelé salé très en dessous des 1 %.
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